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lundi 13 octobre 2014

REFORMONS MACRON OU POLE EMPLOI ?

           REFORMONS MACRON OU POLE EMPLOI ?

                      Assurance chômage 

Emmanuel Macron favorable à une réforme, le PS lui demande de suivre la ligne de François Hollande

Le HuffPost/AFP


        Publication: 12/10/2014 10h58 CEST Mis à jour: 12/10/2014 16h45


     
                                        LA PETITE INTRODUCTION DE BBR





                                                               C  EST POLITIQUE - 


                                              LA PETITE INTRODUCTION DE BBR



     Le taux de  chômeurs ne cesse de grimper, il y a bien sur les vrais et bien sur les vrais, ce n est pas un scoop, cela dure depuis des années et jamais personne ne s est réellement penché sérieusement sur la question (même si d autres pays ont déjà pris des mesures) mais en France on ne copie que le mauvais.


     Il me semble que sur un sujet aussi grave qu important, la droite, la gauche,  le centre et autres pourraient faire l effort de s entendre dans le seul but d aider les Français et éviter de faire sombrer le pays dans cette tournante infernale.

     Mais nous connaissons tous le problème des frères ennemis, il suffit qu un dise blanc pour que l autre dise systématiquement noir même si la proposition est acceptable et peut contribuer à faire évoluer les choses dans le bon sens.

     Certes il n est pas normal que nous ayons un taux de chômage aussi élevé toutes catégories confondue, et il n est pas normal non plus qu il y ait des chômeurs de longues durées qui ne cherchant pas sérieusement un emploi continuent à être rémunérés.

     Des réformes doivent en effet être faites - Mais une reforme se prépare, pas seulement avec des partenaires sociaux syndicalistes en qui je n ai personnellement aucune confiance, mais aussi avec l ensemble de tous les députés que j estime trop payé pour le peu de concret qui ressort de leur réunion à l Assemblée Nationale.

     Cambadélis sachant  d où il sort ferait mieux de la mettre en veilleuse, car il n est pas clair du tout et on se demande bien comment il a pu atterrir à se poste.Quant à Bartelonne il ne justifie certainement pas les rémunérations qui lui sont accordées  (J avais publié des articles sur ces deux phénomènes).

       Nombreux chômeurs n acceptent pas la mobilité, d autres ne veulent pas changer d emploi bien que son secteur naturel soit bouché, d autres estiment qu être payés sans travailler c est aussi bien, et que si on complète avec du travail au black, on se fait des salaires mirobolants avec possibilité de n être pas imposés, d autres trouvent un travail effectuant le nombre d heures nécessaire pour avoir à nouveau droit aux indemnités,  toutes les astuces sont bonnes et Dieu sait qu il y en a , je n ai pas tout énuméré.

      Il y a aussi la réalité du chômage, du peut être aux difficultés liées à l âge, aux connaissances, au niveau d études, au salaire trop bas, aux entreprises qui déposent le bilan, à celles qui délocalisent les cas pour être un vrai chômeur ne manquent pas non plus.

      J ai toujours pensé honnêtement qu il y avait peut être la solution de proposer (je dis bien de proposer car ce n est pas toujours le cas) un certains nombre d emplois à une personne (le nombre étant à définir) et qu à partir du dernier refus les indemnités devaient être rompues. Cela éviterait peut être les abus, mais aussi le travail au noir très prisé compte tenue de la forte imposition qui sévit sur les revenus du travail légal y compris les heures supplémentaires.

     Peut être aussi que si toutes les entreprises faisaient participer leurs employés à un pourcentage sur les bénéfices, on ne regarderait pas les heures, il y aurait d avantage de productivité et tout le monde y gagnerait. Il y a eu des reportages satisfaisant sur ce sujet, et l employeur faisait même une fête avec champagne en fin d année. Il a été très applaudit. Ça évite que seul l employeur se remplisse les poches sur le compte des travailleurs.

     On ne peut pas dire que les solutions n existent pas, il suffirait que chacun y mette du sien, et avec de la volonté on peut y arriver, certains y arrivent en faisant des sacrifices, pourquoi pas les autres.

     Je doute fort de la volonté des politiciens, président y compris pour vouloir faire en sorte que la situation s améliore, même s ils disent tous au moment des élections que c est leur priorité, ils ont tellement de priorité, et font tellement de promesses que finalement il ne font rien.

     Ce ne sont  plus de paroles dont les Français ont besoin - Ce sont des actes


                                                                             -----ooo0ooo-----


     Le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis a pris le contre-pied dimanche 12 octobre du ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, favorable à une réforme de l'assurance chômage, en lui rappelant que les ministres devaient se conformer à la parole présidentielle

     "La gauche n'a pas de tabous, mais elle a quelques totems, en particulier le fait que quand le président de la République s'exprime, les ministres appliquent", a déclaré le député à son arrivée du conseil national du PS à Paris. Est-ce une fin de non recevoir à ce chantier? "Absolument", a tranché Cambadélis.

     Il répliquait ainsi à Macron qui, dans le JDD, a jugé qu'il ne devait "pas y avoir de tabou ni de posture" sur l'assurance-chômage, en plein débat à gauche sur l'opportunité de débattre du montant et de la durée des allocations.
Lire aussi : 
     "L'assurance-chômage est en déficit de 4 milliards d'euros", argumente le ministre. "Quel responsable politique peut s'en satisfaire? Il y a eu une réforme, elle est insuffisante. On ne pourra pas en rester là. C'est aux partenaires sociaux qu'il appartient de faire avancer les choses", a déclaré le ministre.

     Cette forte prise de position intervient trois jours après que François Hollande eut assuré à Milan, à propos d'une réforme de l'assurance chômage, qu'il y avait "suffisamment de sujets pour que nous   soyons bien occupés et que nous montrions que nous faisons des réformes utiles à l'emploi".

     Cette déclaration présidentielle a été vue comme un recadrage de propos rapportés du Premier ministre, tenus lors d'un déjeuner avec des journalistes britanniques, lundi à Londres. La question du montant et de la durée de l'indemnisation chômage en France "doit être reposée", aurait alors dit le chef du gouvernement, pourtant beaucoup plus prudent juste après devant la presse française.
"Nous sommes en régression"

     Les réactions les plus virulentes aux déclarations du jeune ministre ont émané sans surprise de l'aile gauche du PS. "Comme d'habitude, nous sommes en régression. C'est-à-dire que nous commençons à considérer que les solutions de l'adversaire, (celles de) la droite, sont les solutions qui doivent être opérées par la gauche", s'est exaspéré le député européen Guillaume Balas.

     "C'est une nouvelle provocation, ou une nouvelle boulette ou un nouveau couac. Et c'est regrettable", a tancé Emmanuel Maurel, de "Maintenant la gauche", l'une des deux sensibilités de l'aile gauche socialiste. "Il y a mieux à faire que de pointer du doigt la responsabilité individuelle des chômeurs", a taclé le frondeur Laurent Baumel. Le député Pascal Cherki a lui accusé le ministre "d'exhibitionnisme libéral".

     Claude Bartolone a voulu ramener le "calme". "J'appelle tous les membres du gouvernement, tous les responsables politiques (à) faire attention lorsqu'il y a une mesure d'annoncée", a dit le président de l'Assemblée nationale. "Les annonces fantasmes, je me méfie, lorsqu'il y a une proposition qui est mise sur la table et qui, d'un seul coup, engendre de l'inquiétude dans un pays déjà très inquiet", qui se demande "ce qu'on va enlever".

      Macron a été "maladroit"

     "Trop souvent, ce qui provoque des crispations, c'est qu'on ne donne pas un sens global à l'ensemble des réformes que l'on veut mener", a critiqué l'ex-ministre Dominique Bertinotti. "Il (Emmanuel Macron) le dit clairement dans le JDD. Ce n'est pas dans l'abaissement des droits mais en levant des blocages qu'on pourra régler toute une série de questions", "si l'idée, c'est abaisser les droits, le PS n'en sera pas", a averti Christophe Borgel, du Bureau national du PS.

     En fin de journée, Cambadélis est revenu sur l'incident pour tenter de déminer quelque peu le terrain, affirmait que le ministre avait été "maladroit", mais n'a pas "commis une faute politique". "C'est dommageable, pas simplement pour le PS qui tient (ce jour) son Conseil national. C'est dommageable pour ce qui a été dit dans l'interview. Parce que cela fait passer au second plan les propositions (de M. Macron) qui sont des propositions de relance pour notre croissance", a-t-il poursuivi. 

     "Ça, c'était intéressant, ça, c'est le bon sujet. Là, il faut y aller, là, nous avons des propositions concrètes et là, M. Macron est dans son rôle", a-t-il insisté.

     Mais les périls pour Hollande et Valls se sont aussi précisés à l'extérieur du PS: son dernier allié, le PRG — dont le président Jean-Michel Baylet a été battu aux sénatoriales — va lui soumettre un long et précis pacte de gouvernement, auquel il conditionne le maintien de son soutien.

     Les radicaux de gauche, qui ont trois ministres, y multiplient les demandes de retrait d'annonces fortes et récentes comme la suppression de la première tranche de l'impôt sur le revenu ou les mesures d'économie de la politique familiale. L'avertissement intervient trois jours avant le début de la complexe discussion du budget pour 2015.

12 commentaires:

  1. On est en présence d’une très grande improvisation qui est la conséquence d’un amateurisme intégral. Les acteurs sont mauvais, incapables de jouer ensemble, chacun dit ce qu’il lui passe par la tête en fonction de son ambition propre ou chante les paroles qu’il a envie de chanter sur des musiques différentes, en fonction de son inspiration du moment. En français dans le texte : c’est une cacophonie.
    Comme il est particulièrement délicat de lancer des réformes en ce moment avec une société française au bord de la crise de nerfs collective, il faut y voir plutôt des "ballons d’essai" (ou si l’on préfère des "ballons sondes") lancés pour mesurer l’état de résistance de telle ou telle frange de l’opinion. Les messages sont apparemment contradictoires, mais en réalité ils permettent d’envisager des scenarii ou des modus operandi différents pour atteindre un objectif qui est commun et unique à l’ensemble de l’exécutif.
    Le président de la République, le premier ministre, le ministre de l’Economie se partagent les rôles, tout comme dans la moindre série policière américaine vous avez le "bad cop" et le "good cop", celui qui fait le méchant et celui qui joue le gentil. Leurs différences ne sont que tactiques au service d’une même stratégie : réussir leur mission.
    @

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  2. Sacha Guitry nous dirait " si Pole emploi m était conté" - Des années que le chômage grimpe, et personne ne s en souci vraiment, des petites mesures par ci par là, beaucoup de statistiques, avec de nombreuses erreurs favorables ou pas au gouvernement en place, on minimise, on parle beaucoup, on promet et on ne fait rien. Comme d habitude ( Cloclo)

    Mais concrètement on a fait quoi, o a changés des noms ça on sait faire de Chômage on a dit pole emploi, d Assedic on a dit Unedic, mais la finalité c est quoi, c est toujours une augmentation du nombre de chômeurs. Alors oui y a les vrais et les faux, comme pour les malades.

    Là où il y a de la gène il n y a pas de plaisir, et là où il y a de l intérêt il y a de la triche.

    Ce n est quand même pas le citoyen LAMDA qui va donner des directives, surement pas non plus le fraudeur.

    Les décisions appartiennent toujours au clan politique, qui depuis des lustres ne fait rien, rien parce qu il ne peut rien faire ou rien parce qu il ne veut rien faire. Combien de chômeurs sont réellement contrôlés ? Y a t il assez de contrôleurs ?

    Chaque politicien y va de sa petite idée, et chaque clan se fait la guerre, ne faisant en aucun cas évoluer la situation qui se dégrade chaque jour un peu plus.

    Oui BBR ce sont des actes qu il faut - pas du bla bla bla.

    Jean BOUVARD

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  3. Votre introduction BBR a le mérite d être claire. C est vrai que souvent je me dis qu il ne semble pas possible de l ampleur du nombre de chômeurs, et pourtant les chiffres sont bien là.

    C est vrai aussi qu à chaque élection les politiques font du chômage leur priorité, hollande devait inversé la courbe (on a jamais su dans quel sens).

    Quand on veut que les choses soient sérieuses, il faut être sérieux et irréprochables soit même, ce n est pas les exemples que nous montre notre gouvernement qui va arranger la situation , les cahuzac, thevenout, et autres peuvent témoigner.

    Alors lorsque eux seront net, peut être que les chômeurs consentiront à faire aussi des efforts. Qui sait !!!!!!

    La Normande

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  4. Décidément macron fait beaucoup parler de lui ces derniers temps. Du bien, du moins bien, la façon de dire, et ensuite tout s écroule avec les pour et les contre.

    Nul ne peut dire comment les choses évolueront, ni les mesures qui seront prises, il y a tellement de contradictions, le monde politique est ainsi fait, c est pour cela qu il y a de nombreux partis pour exprimer leurs désaccords, et pourtant il n y a qu une seule école.

    Nul doute qu il y aura du profit pour certains, et d autres seront lésés comme à chaque décision.

    Nicole PLEY

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  5. Nos guignols sont en train de jouer avec le chômage comme ils jouent avec nos impôts, ou avec l éducation nationale, nos militaires, un rien les amuse.

    Moi ça ne m amuse pas, s ils ne sont pas capables ne prendre les bonnes décisions pour les Français, ils n ont qu à faire des référendums , on prendra les décisions, et on se demande donc qu est ce qu ils foutent là, on n a plus besoin d eux.

    Nathalie.

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  6. A chaque décision - il y a contradiction - puis marche arrière, même à ça on s habitue.

    Quand on pense que même en représentant la majorité, ils ne sont pas d accord, comment voulez vous qu on s en sorte.

    Les frondeurs au lieu de voter blanc, ils ont qu à avoir des couilles et voter non et nous monter de quel côté ils se situent, mais ils craignent tellement pour leur sale fric,.....qu ils ne penchent ni à gauche ni à droite, je ne sait même pas si eux le savent.

    L inversion de la courbe, il m avait déjà bien fait rire, quand on voit où elle en est, c est de la sienne qu il voulait parler

    Ils ne savent même pas parler entre eux pour prendre en commun les bonnes décisions qui puissent arranger les Français. Les frères ennemis de l électorat.

    André BERGERAC

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  7. C est vrai que si tous nos politiciens se mettaient à penser en commun pour nous, nous nous en serions rendu compte depuis longtemps. Chacun prêche pour sa paroisse et surtout pour son portefeuille.

    Le macron débute dans le métier, alors il se dit qu il a été nommé à ce poste pour prendre des décisions, mais il n a pas compris que ce n est pas comme cela que ça fonctionne, y a les anti décisions, les râleurs, les frondeurs, les partis adverses, le 1er ministre et le grand manitou (pardon l Indien) JE NE LE FERAIS PLUS.

    Alors la réforme sur le chômage attendra encore un peu, ça n aura été que la mise en bouche, le plat de résistance viendra plus tard - Peut être en 2017 qui sait !!!!!!!!

    Z@vor

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  8. Tous ces guignolos ne font plus rire;le chômage grimpe à une vitesse de bolides de Formule 1 et les entreprises ferment les unes après les autres laissant sur le carreau leurs travailleurs qui n'ont rien demandé et qui grossiront la file des milliers de chômeurs!!!
    Tous ces "énarques" réfléchissent,réfléchissent et prennent des mesurettes qui sont contestées au sein même du parti mais comme vous le dîtes si bien,ami @, tout cela fait partie du jeu pervers mis en place pour détruire les Nations. Ils sont tous d'accord et font semblant de permettre l'ouverture de la boite de la contestation pour nous faire croire que la démocratie existe encore.
    Nous vivons sous une dictature qui ne dit pas son nom et tout sera fait pour accélérer la destruction de nos acquis, de nos valeurs et de ce qui fait la grandeur de la France.
    Personne ne s'occupera des sans dents, des illettrés,et pendant que nous perdons notre énergie à tenter de préserver le peu qui nous reste, eux, ne se gêneront pas pour appliquer la feuille de route qui permettra de rayer de la carte des Nations, notre pauvre France.
    Fleur de lys.

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  9. Quand je lis tous vos commentaires, amis du blog, je ne puis m'empêcher de penser que chacun de nous ferait mille fois mieux que tous les nuls qui nous gouvernent. Seraient-ils donc bêtes pour ne pas savoir que trop d'impôt tue l'impôt, que les régimes particuliers de retraite tuent les retraites de ceux qui n'en bénéficient pas, que les intermittents du spectacle travaillent quelques jours et encaissent des indemnités de chômage qui durent des mois, que trop de migrants bouleversent la vie du pays et de ses primo habitants, que trop de laxisme favorise le chaos...?
    Non ! ces gens ne sont pas bêtes mais comme le dit si bien @, ils lancent leurs ballons d'essais pour voir jusqu'où ils peuvent aller trop loin, jusqu'où ils peuvent désosser la bête sans qu'elle morde (s'il lui reste des dents).
    Il faudrait une grande manif où des millions de personnes seraient dans la rue pour faire entendre la vox populi, la voix du peuple, qui est la vox dei, la voix de Dieu.
    Il faudrait cette immense vague de contestation populaire pour clamer que nous ne voulons plus de mange merde à la tête du pays.
    L'Indien.
    NB pas d'inquiétude, Z@vor, le grand Manitou reconnait les bons esprits et les mauvais et je sais qu'il vous classe, tout comme les amis du blog, dans la première catégorie. Quant à hollandouille il le châtiera s'il ose s'affubler du titre de Manitou.

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  10. Je regarde, Je regarde, je regarde l assemblée, et je ne vois que des acteurs, des décideurs, je ne vois aucun figurant à qui on pourrait éventuellement demander son avis et qui selon moi devrait être important car ils sont les premiers concernés.

    Bien sur l Indien, que c est bien d une grande manifestation qu il nous faut pour faite comprendre à tous ces idiots qui nous gouvernent et qui nous ont gouverné, que nous ne sommes pas dupes de leur supercherie composée de belles paroles pour nous faire croire qu ils nous écoutent. Ils ne s écoutent qu eux et rien qu eux sans tenir compte de ce pourquoi on les a mis en place, de la mission qui leur a été confié par notre intermédiaire, Bien sur qu on ferait surement mieux qu eux, pour faire leur travaillant de faux penseurs, et de fainéants nous n avons pas besoin d eux. Ils sont vraiment payés à rien foutre, et Dieu sait qu ils encaissent, ça ils savent faire.

    Je hais leur mépris du peuple, leur air dédaigneux, leur sourire narquois et ironique lorsque une question leur est posée comme si elle était nulle venant de la part d un simple figurant "un sans dents" "un illettré". Ils s en mettent plein les poches, se mettent à l abri du besoin dont ils ont déjà depuis longtemps les grands moyens (pas de soucis) se créent des lois pour y parvenir encore plus facilement (merci débré) distribuent notre argent à l immigration, a des amis faisant partis d associations diverses

    Ils ne se prennent pas pour des merdes avec leurs études à l ENA créé pour leur apprendre à nous mentir et nous plumer, je hais aussi cette école qui est loin d être du côté des Français.

    Je me demande toujours quand la tempête va semer le vent soufflé par nos gouvernants.

    (RIRE pour le grand Manitou) On arrive encore à sourire et rire malgré ce désastre.

    Olivier TREQUEL

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    1. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que vous êtes énervés Olivier, je vous avais vu arriver avec beaucoup d humour ces jours ci, et voila que macron recommence, après les illettrés le voilà qui se penche sur l assurance chômage avec déjà tout un tas d insatisfait de droite, de gauche, du centre, des syndicats (pardon des partenaires sociaux) des français, -

      La fronde s agite encore dans le vide juste pour essayer de nous montrer que eux veulent comprendre de gentil peuple pigeon qu on plume sans trop de difficulté, que eux nous comprennent et ne veulent pas des décisions hâtives prises pour sanctionner à nouveau le pays.

      Petit macron veut devenir Grand, mais trop vite, il lui faudra encore patienter avant d arriver dans les traces de ses maîtres, il a cru qu avec sa nomination tout était arrivé et qu il allait pouvoir tout décider seul en matière d économie, le chemin qui lui reste à parcourir est encore long et il lui faudra peut être l aide de notre nouveau prix Nobel Jean TIROL (qui a déjà fait parti des meubles pour aider l Elysée) et qui a beaucoup de chiffres dans la tête (n oublions pas qu il a fait polytechnique).

      Je pense que même des SOS et des "Bouteilles à la Mer" ne suffisent plus aux Français pour réagir face à cette décadence.
      Bon ben j ai pu m exprimer aussi -

      Alice

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    2. Alice, ce n'est pas macron, c'est groc(r)on.

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