DISSOLUTION DE L ASSEMBLÉE NATIONALE ????

                     

                        LE PEUPLE A PARLÉ    
   L’ASSEMBLÉE NATIONALE DOIT ETRE DISSOUTE !

     Voici ce que le futur candidat de 2012, visionnaire, déclarait en 2006, un peu avant que sa maîtresse d'alors se présente à l'élection présidentielle...

     Mais,  élu Président, la seule chose qui compte pour lui ce sont  le pouvoir et l argent, et même au plus bas de sondages, jamais il n abdiquera, jamais il ne dissoudra l assemblée nationale comme il le souhaitait lorsque la droite était au pouvoir. C est dans ses moments là que nous voyons combien l intérêt peut tout changer.

      Malgré sa nullité et son incompétence et ses mensonges permanents,  il fera subir sa présence aux Français encore trois longues années qui  paraîtront interminables.

     "Exercice de vérification démocratique au milieu de la législature", disait-il...

     A deux reprises, cette "vérification démocratique" vient de montrer que la majorité n'est plus la majorité.        A deux reprises, le parti socialiste et ses sbires ont été laminés, du plus petit niveau (les communes) au plus haut niveau (l'Europe) du millefeuille administratif.

     150 villes de plus de 10 000 habitants perdues, le Sénat qui rebasculera à droite à l'automne et le PS réduit à la portion congrue à l'Assemblée de Strasbourg.

     La sanction est tombée. Sèche et tranchante. Comme la lame affutée d'une guillotine que certains rêvent déjà de ressortir du musée de la République.

     Après deux années de carnage, le pire président de la V° et sans doute de toute l'histoire de la République française a conduit de main de maître la France vers l'abîme. En ayant d'abord stupidement sous-estimé la crise mondiale, en faisant ensuite peser sur son prédécesseur tous les maux de la terre, et en prenant finalement les décisions systématiquement contraires à ce qu'exigerait la situation économique de la France. Toujours plus de dépenses, toujours plus d'impôts (portant évidemment sur les classes moyennes), aucune réforme structurelle, et des déclarations irresponsables déclenchant des réflexes de peur de la part des investisseurs étrangers et la fuite généralisée des entrepreneurs et des jeunes diplômés.

     Après deux années de haine absolue contre la France et les Français, le plus nul de l'énarchie, porté par une ambition démesurée et un ego surdimensionné, profitant de la mise hors-jeu de l'obsédé sexuel qui se préparait à baiser la France, a réussi à fracturer durablement notre Patrie à l'occasion de réformes sociétales qu'aucune personne sensée ne réclamait.

     S'il avait du courage et de l'honneur - mais il ne possède aucune de ces qualités qui font un Chef d'Etat - ce triste sire aurait eu à cœur d'appliquer la promesse faite en 2006, en cessant d'exercer ses fonctions de président de la République dès dimanche soir.

     Hélas, n'est pas de Gaulle qui veut, et surtout pas ce petit appartchik minable qui "n'a jamais rien su faire de sa vie", comme le prétendait méchamment la mère de ses enfants avant qu'il ne la fasse entrer au gouvernement (le tigre étant moins dangereux en en cage au village que libre à l'entour).

     S'il était vraiment mû par l'amour de la France - mais il la hait - il aurait rendu le mandat inconsidérément à lui confié par un peuple anesthésié par les médias et décervelé par la dictature du "prêt à penser".

     S'il avait un peu de bon sens, il aurait admis depuis longtemps que le peuple a compris qu'il s'était trompé en l'élisant par défaut en 2012.

     Mais il n'a rien de tout cela, et on n'apprend pas aux bœufs à chercher des truffes ! Aucun talent, aucune qualité, aucun courage... Et la soupe est sans doute trop bonne pour ne pas en profiter encore pendant 3 longues années au détriment de la France qui souffre.

     Nous ne demanderons donc pas qu'il ait ce courage de rendre - pendant qu'il en est encore temps - le mandat sacré que la Patrie lui a imprudemment confié.

     En revanche, l'esprit, sinon la lettre, de la Constitution de 1958 exige, après une telle double déculottée, que l'Assemblée Nationale soit dissoute et que le peuple soit appelé à élire une nouvelle majorité sur un nouveau programme de gouvernement.

     On ne dirige pas un pays comme la France en méprisant la volonté populaire. L'histoire a abondamment prouvé que le peuple Français a toujours su rappeler aux tyrans son droit inaliénable de résistance à l'oppression.

Comme on l'ignore généralement au "Pays des Droits de l'Homme", c'est, 13 ans avant la révolution française, dans la Déclaration d'indépendance américaine du 4 juillet 1776 qu'on trouve le premier texte évoquant ce droit naturel.
 

« Nous tenons ces vérités comme évidentes, que tous les hommes ont été créés égaux, qu'ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, parmi lesquels la vie, la liberté et la recherche du bonheur. - Que pour garantir ces droits, des gouvernements sont établis parmi les hommes, tenant leur pouvoir légitime du consentement des gouvernés.

      Que chaque fois qu'une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le peuple a le droit de la changer ou de l'abolir et d'établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur ces principes et en l'organisant sous les formes lui paraissant les plus propres à lui apporter la sûreté et le bonheur ».

     La Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 (sur laquelle se fonde la Constitution de 1958) le prévoyait explicitement dans son article 2.

     Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme.
     Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. 

     L'article 35 de la Constitution de 1793 est encore plus clair.

     « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». 

     En conséquence, nous nous associons  solennellement et sans aucune réserve à tous les partis, associations, groupements, hommes et femmes de France, quels qu'ils soient, qui exigent la dissolution immédiate de l'Assemblée Nationale.