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mardi 4 mars 2014

UKRAINE/ CRIMÉE / RUSSIE


                                     SOMMES NOUS BIEN AU 21 EME SIÈCLE ?


     Beaucoup d événements nous dépassent, il n y a plus de jours où nous ne subissons pas des attentats, des prises d otages, des soulèvements de peuples, (tantôt pour supprimer des dictateurs, tantôt à cause des religions, tantôt à cause du partage des terres).

     Nous trouvons des terroristes partout, des rebelles, des kamikazes, des islamistes radicaux avides de pouvoir, des hommes toujours prêts à se battre avec les armes à la main, montant les gens d un même pays les uns contre les autres.

     Et que se passe t il , quel est le résultat final ?????.....   DES MORTS - DES CADAVRES partout.

     SONT ILS MIEUX APRES , VIVENT ILS MIEUX - NOUS N EN SOMME SPAS SUR

        JE NE SUIS PAS UN SPÉCIALISTE DES QUESTIONS SUR L UKRAINE,  LA RUSSIE  ET LA CRIMÉE,

      AUSSI ME SUIS JE INSPIRÉ  DE CES QUELQUES ARTICLES INTÉRESSANTS QUI SONT PARUS   PAR     "LA VOIE DE LA RUSSIE"



     Mais que savons nous réellement

     Les Historiens évoquent l histoire, le passé, les écrivains racontent aussi, les politique parlent beaucoup ( comme d habitude dirait un certain claude FRANÇOIS).

     Le duel OBAMA / POUTINE n est pas prêt de se terminer on dirait les frères ennemis.

     L UKRAINE baigne dans son sang

     On veut punir la Russie ( POUTINE surtout) pour le déploiement de ses forces militaires en CRIMÉE.          
     Celui ci prétend vouloir protéger ses biens et aussi les citoyens pro russes.

     On va le punir de quoi - des visas - des affaires financières - de boycott à SOLCHI pour le G 8.

     Tout cela ne me plait pas, des guerres ont éclaté pour moins que ça.

     On envoie les ministres des affaires étrangères ( LA CLASSE) rien ne bouge

     Les Nations unies cherchent sois disant des solutions, mais c est toujours très long et il y a toujours des veto. On s entretien par téléphone avec POUTINE qui reste stoïque et continue à faire ce qu il veut ( comme d habitude)

     A t il raison ? - A t il tord ? Qui le sait

     POUTINE se mêle t il des affaires Américaines ou Françaises lorsqu il y a des problèmes.
     Qu ont fait les nations unis, les américains et autres européens pour le Mali et le Centre Afrique, ils ont laissé la France se démerdait toute seule , et là ils font un peu plus les malins pour essayer d abattre un POUTINE qui gêne ou un  BACHAR EL HASSAD qui dérange

     PERSONNELLEMENT JE PENSE QUE MR POUTINE A ÉTÉ HUMILIE PAR LES AMÉRICAINS ET LES EUROPÉENS.
     
     DANS CE CAS BIEN PRÉCIS, IL NE FAISAIT QUE DÉFENDRE LES INTÉRÊTS ET LES BIENS DE LA RUSSIE AINSI QUE PROTÉGER LA POPULATION PRO RUSSE.
     
     IL EST ÉVIDENT QU IL PROTÈGE DE CE FAIT SES PROPRES INTÉRÊTS, MAIS QUE CROYEZ VOUS ? QUE LES AUTRES PRÉSIDENTS NE LE FONT PAS - QUE FAISAIT GEORGES BUSH POUR LE PÉTROLE ??? POUR NE CITER QUE LUI.



                        PERSONNE N A INTÉRÊT A UNE PARTITION DE L UKRAINE 

     Le mouvement de contestation du pouvoir du président Ianoukovitch, mouvement dont la base était une révolte contre la corruption bien plus qu’une volonté d’adhésion à l’Union européenne, a été débordé par des éléments ultra-nationalistes, dont certains appartiennent à des groupuscules fascisants. 
     Ces éléments ont délibérément cherché l’affrontement, en tirant sur les forces de sécurité, faisant prendre des risques inconsidérés aux autres manifestants qui étaient pris en otage. 
     Ces militants portent une large part de responsabilité dans les morts de la place Maïdan.

     Leur nombre oscille entre 10 000 et 20 000 ; ils étaient minoritaires dans le mouvement de protestation, mais ils sont devenus politiquement dominants au fur et à mesure que la situation se dégradait et que montait la violence des affrontements. 
     Ce sont eux qui ont cherché à prendre d’assaut le Parlement, provoquant la réaction des forces de sécurité, et déclenchant la séquence des événements qui a conduit à la fuite de Ianoukovitch.

     [...] À la suite des événements tragiques de fin février s’est donc mis en place un pouvoir de fait à Kiev, provoquant un effondrement de la légitimité de l’État ukrainien. 
     La dissolution d’unités de la police, qui n’avaient fait qu’obéir aux ordres, a provoqué une profonde inquiétude dans les régions de l’Est. 
     Ce à quoi on assiste depuis le 28 février, soit la prise du pouvoir par des groupes pro-russes en Crimée, à Kharkov, à Donetsk et même à Odessa, n’est que la suite logique du basculement d’une lutte pour la démocratie et contre la corruption vers un affrontement ethnique. 
     C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre l’intervention militaire de la Russie qui est en cours. Il faut ici ajouter qu’il y a en Ukraine pas moins de 17 réacteurs nucléaires et de nombreux centres de stockage de matériaux fissiles, ce qui représente un autre danger pour la sécurité de la région toute entière.

     Personne, dans ces conditions, n’a intérêt, sauf les groupes extrémistes, à une partition de l’Ukraine. Ce n’est pas dans l’intérêt de la Russie, qui certes y gagnerait ce qu’elle possède de facto déjà, soit l’industrie ukrainienne, mais qui verrait alors se profiler une longue période d’affrontements avec l’UE et les États-Unis.      Ce n’est pas non plus l’intérêt de l’Union européenne, car il lui faudrait porter littéralement à bout de bras l’Ukraine occidentale (et la moitié de la population). 
     Le coût économique serait élevé dans une situation où plus personne ne veut payer pour autrui. Il serait aussi répété sur de nombreuses années, car l’on voit mal comment la situation de l’Ukraine occidentale pourrait s’améliorer à court terme. 
     Les conséquences financières seraient aussi importantes, car les banques européennes, et en particulier autrichiennes, sont lourdement exposées au risque ukrainien. 
     De plus, l’UE pourrait être tenue pour responsable de la situation en Ukraine centrale et occidentale et, avec la montée rapide d’un désenchantement qui n’est hélas que trop probable, elle devrait affronter la montée de sentiments pro-russes dans cette population.

                                       QUI SÈME LE VENT RÉCOLTE LA TEMPÊTE

      Le soutien irresponsable des États-Unis et de l’Union européenne à un coup de force contre un président légalement élu, au moment précis où les Russes étaient concentrés sur les Jeux de Sotchi, est en train de produire ses effets prévisibles. 
     J’avais mis en garde, dès le début de ces troubles fomentés de l’extérieur, quant au risque d’envenimement de la situation ukrainienne.

     Kiev n’a plus de gouvernement légal mais agit sous la pression de milices radicales qui ont annulé la démocratie, balayé les droits linguistiques des russophones, limité les programmes de télévision d’opposition, arraché les églises orthodoxes ukrainiennes du patriarcat de Moscou et menacé d’annuler l’autonomie de la Crimée garantie par des traités.

     Il était logiquement prévisible que Moscou ne laisserait pas le nouveau pouvoir menacer les populations russophones de l’Est et de la Crimée. 
     Vladimir Poutine pouvait-il rester sourd aux appels inquiets des foules massées à Kharkiv, Donetsk, Simferopol et Sébastopol ? Pouvait-il prendre le risque d’une guerre civile généralisée en Ukraine qui aurait conduit à des massacres de grande ampleur ?

     Les pyromanes de salon qui ont joué avec le feu en poussant une partie de l’Ukraine contre une autre, sans se préoccuper des conséquences humaines, pourront bien dénoncer l’arrivée des pompiers russes. 
     Ils porteront cependant, devant l’Histoire, une responsabilité écrasante quant à l’affaiblissement général de la souveraineté étatique ukrainienne.

     Comme l’intervention armée française au Mali, l’intervention russe dans l’Est de l’Ukraine et en Crimée vise d’abord à désarmer une population qui était en train de s’armer dangereusement, à garantir les droits des russophones qui venaient d’être anéantis par Kiev, et, bien évidemment aussi, à l’instar de la France en Afrique subsaharienne, à garantir quelques intérêts stratégiques propres à toute zone d’influence historique.

     En voulant otaniser de force l’Ukraine les Européens ont « tout gagné ». La Russie va reprendre ce qui lui appartient historiquement : ce qui était la Petite Russie durant tous ces siècles, avant que l’Ukraine ne soit construite récemment.

     Il y aura donc deux gagnants dans cette crise : les États-Unis qui accomplissent leur stratégie de division pour prévenir toute unité eurasiatique, et les Russes qui vont renforcer leur unité politique et économique avec les provinces russophones et ethniquement russes de l’État ukrainien. 
     Les perdants sont les Européens de l’Ouest et du Centre car la coopération avec la Russie progressait ces dernières années et les catholiques et les orthodoxes pouvaient commencer à mieux se comprendre. 
    La fracture risque donc d’être ravivée, sauf si les catholiques et les protestants d’Europe savent déjouer le piège anti-orthodoxe qui leur est tendu. 
     Pour cela, je leur conseille de revenir au livre programmatique que Samuel Huntington publia en 1990 : Le Choc des civilisations. 
     Le programme américain y est annoncé clairement. Le bloc occidental souhaité par Washington y exclut clairement le monde orthodoxe.


                               UKRAINE : LES EUROPÉENS MENACENT LA RUSSIE 


     L’Union européenne (UE) a exhorté lundi la Russie à faire baisser la tension en Ukraine d’ici à jeudi, en la menaçant de sanctions si ses troupes ne se retiraient pas de Crimée.

     Preuve de la gravité de la situation, un sommet extraordinaire rassemblera jeudi à Bruxelles les chefs d’État et de gouvernement des 28 pays de l’UE.

     Réunis dans l’urgence lundi, les ministres des Affaires étrangères ont exprimé leur « extrême inquiétude », selon le Français Laurent Fabius. Car l’Ukraine est la pire crise en Europe « depuis la chute du mur de Berlin », a estimé l’Allemand Frank-Walter Steinmeier.

     Les ministres ont directement mis en cause Moscou en condamnant la violation manifeste de la souveraineté ukrainienne par les actes d’agression des forces armées russes.

     Ils ont appelé la Russie à prendre des mesures rapides et concrètes de désescalade avec, en premier lieu, le repli des forces russes déployées ces derniers jours en Crimée dans leurs zones de stationnement permanentes.

     Si ce n’était pas le cas, les dirigeants européens pourraient décider jeudi de suspendre des négociations sur la libéralisation des visas ou sur un nouvel accord de coopération.

     L’UE envisagera aussi des mesures ciblées, à savoir des sanctions visant des personnalités ou des entités sous la forme de gel des avoirs ou de privation de visas.

     « Cela veut dire concrètement que les ponts seront coupés sur beaucoup de sujets », a souligné M. Fabius.

     Les ministres ont décidé d’accorder deux jours à la Russie afin de favoriser le dialogue, alors que l’activité diplomatique s’annonce intense.

     Rencontre Ashton-Lavrov mardi

     La représentante de la diplomatie de l’UE, Catherine Ashton, rencontrera mardi à Madrid le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, avant de se rendre le lendemain à Kiev.

     « Le dialogue à tous les niveaux est très important, a insisté Mme Ashton, car nous voulons vraiment que cette situation soit résolue rapidement, et plus important encore, de façon pacifique. »

     M. Lavrov a cependant dénoncé les menaces de sanctions brandies par ceux qui essaient d’interpréter la situation comme une agression de la part de la Russie.

     À Bruxelles, certains ministres, essentiellement ceux des pays d’Europe de l’Est voisins de la Russie, ont souhaité que l’UE adopte une ligne plus ferme à l’égard du président Vladimir Poutine.

     « Nous savons que chez les rapaces, l’appétit vient en mangeant. L’enjeu pour le monde libre est de s’opposer à cette logique », a déclaré Radoslaw Sikorski, le chef de la diplomatie polonaise.

     « Certains en Russie restent impressionnés par l’usage de la force militaire, a renchéri le Suédois Carl Bildt. Mais ce n’est pas le meilleur moyen de se faire des amis en Europe et dans le monde, et les Russes vont s’en apercevoir, pas aujourd’hui ou demain, mais un peu plus tard », a-t-il ajouté.

     Devant le Parlement européen, l’émissaire du gouvernement ukrainien pour la Crimée, Boris Tarasiuk, a également exhorté l’UE à adopter une approche beaucoup plus ferme à l’égard de la Russie.

     La principale décision prise jusqu’à présent est d’ordre diplomatique, avec la suspension, annoncée dimanche par les pays du G7 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni), des préparatifs en vue du sommet du G8 de Sotchi en juin.

     La crise ukrainienne tend un peu plus les relations entre l’UE et la Russie, déjà affectées ces dernières années par des frictions commerciales. 
     Mais les échanges entre les deux parties ont continué à fortement s’accroître, la Russie étant désormais le troisième partenaire de l’UE après les États-Unis et la Chine, avec près de 340 milliards d’euros d’échanges en 2012.

     Témoignant de l’inquiétude des investisseurs, les valeurs européennes les plus présentes en Russie ont fortement chuté lundi en Bourse.

                                 
                                        LA CRIMÉE SE RAPPROCHE DE LA RUSSIE 
   

     Le Premier ministre de la République autonome de Crimée, Sergueï Aksenov, a envoyé au autorités russes une demande d’aide économique de 6 milliards de dollars, dont 1 milliard d’aide financière et 5 milliards d’investissements.

     Le parlement ukrainien a accepté la demande de négociation de la Crimée afin d’obtenir une grande autonomie. Un référendum aura lieu le 30 mars sur l’extension de la souveraineté de cette région russophone.

     Les habitants de Crimée ont pris leur destin en main, comme l’indique M. Poutine :

     « Il semble qu’on souhaite reproduire le scénario de Kiev en Crimée et qu’on puisse y organiser une série d’attaques terroristes. 
      Cela inquiète beaucoup les habitants de Crimée. Ils ont donc créé des comités d’autodéfense et ont pris le commandement des unités militaires locales (…). 
     Plusieurs dizaines de systèmes de missiles S-300 et d’autres armes, ainsi que 22 000 militaires sont passés sous l’autorité des Criméens. 
     Dieu merci, cela s’est passé sans coup férir et c’est le peuple de Crimée qui contrôle tout. Cependant, la Russie se réserve le droit d’utiliser, le cas échéant, les forces armées pour défendre ses compatriotes. »


                       VLADIMIR POUTINE DÉNONCE UN COUP D ETAT EN UKRAINE  


     Le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, a donné une conférence de presse à Moscou, ce matin. Il s’est notamment exprimé sur :

     - L’éviction de l’ancien président Viktor Ianoukovitch :

     « Le 21 février, sous la médiation des chefs de diplomatie de trois pays européens, la Pologne, l’Allemagne et la France, et en présence de mon représentant, le délégué russe aux droits de l’homme Vladimir Loukine, le président Ianoukovitch et l’opposition ont signé un accord en vertu duquel M. Ianoukovitch a pratiquement abandonné son pouvoir. 
     Il a accepté tout ce que l’opposition exigeait. Nous avons joué un rôle dans son sort pour des raisons exclusivement humaines. 
     À mon avis, il aurait été assassiné. J’ai du mal à le dire. Je pense toutefois qu’il n’a pas d’avenir politique. 
     Le changement de régime à Kiev :

     « Il ne peut y avoir qu’une seule évaluation de ce qui s’est passé en Ukraine : c’est un coup d’État anticonstitutionnel et une prise de pouvoir par les armes. 
      Les autorités ukrainiennes sont-elles légitimes ? Le Parlement est partiellement légitime, mais les autres ne le sont pas. 
     Et le président ukrainien par intérim n’a pas la moindre légitimité. Il y a un seul président légitime du point de vue juridique. 
     Il est clair qu’il n’a aucun pouvoir. Mais M. Ianoukovitch est bien sûr le seul président légitime du pays. »

     Les sanctions des Occidentaux :

     « Ceux qui envisagent de décréter ces sanctions doivent songer en premier lieu aux conséquences qu’elles pourraient entraîner. 
     Je pense que dans le monde actuel où tout est lié et où tous les pays dépendent les uns des autres, il est bien entendu possible de causer un préjudice, mais ce serait un préjudice réciproque. 
      Quant au G8, je ne sais pas. 
     Nous nous préparons au G8 et sommes prêts à accueillir nos collègues chez nous. S’ils ne veulent pas venir, c’est leur affaire. »


         EXERCICE MILITAIRE : POUTINE RAPPELLE LES UNITÉS DANS LEURS BASES 


     Le président russe Vladimir Poutine a ordonné aux soldats russes engagés dans des 
manœuvres militaires de retourner dans leurs casernes. Ces manoeuvres militaires étaient organisées dans l’ouest de la Russie, une région limitrophe de l’Ukraine.

     Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, cité mardi par les agences de presse russes, a précisé ces exercices militaires avaient été un succès. La Russie nie qu’ils soient en rapport avec les événements en Ukraine.

     Ce signe d’une possible volonté russe d’apaisement a été accueilli positivement sur les marchés financiers et les marchés des matières premières. L’or comme le pétrole sont retombés.

     Le président russe avait ordonné mercredi une inspection surprise des troupes des districts militaires de l’Ouest, pour vérifier leur aptitude au combat. Cette opération devait durer jusqu’au 3 mars et mobiliser 150 000 soldats.

     Pas lié à l’Ukraine

     Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, avait précisé que l’opération n’était "pas liée aux événements en Ukraine". Plusieurs inspections de ce type ont eu lieu depuis le retour de M. Poutine au Kremlin en 2012, la dernière, visant les troupes d’Extrême-Orient, avait eu lieu en juillet.

     Aucun mouvement de troupe n’a en revanche été signalé concernant les forces russes présentes en Crimée, péninsule du sud de l’Ukraine majoritairement peuplée de Russes de souche. 
     D’après le représentant de l’Ukraine aux Nations unies, Iouri Sergueïev, la Russie a envoyé environ 16 000 hommes en Crimée depuis le 24 février.

     Liens militaires suspendus

     Par ailleurs, les États-Unis ont "suspendu tous les liens militaires" entre Washington et Moscou à la suite de l’intervention russe en Crimée, a annoncé le Pentagone.

     "Nous appelons la Russie à désamorcer la crise en Ukraine et les forces russes en Crimée à retourner dans leurs bases, conformément aux accords régissant les activités de la Flotte russe de la mer Noire", a dit le contre-amiral John Kirby, porte-parole du Pentagone.






8 commentaires:

  1. J'ai déjà grand mal à comprendre le bordel dans lequel se trouve mon pays, pour faire un commentaire sur deux pays étrangers. Par contre du point de vue géographique, stratégique, et surtout économique, je ne comprends pas comment la Russie a laissée échapper l'Ukraine, et comment Gorbatchev a pu céder la Crimée à l'Ukraine. Sur le plan humain, cette situation m'inquiète, mais je subodore avant tout, une grosse manipulation pécuniaire où U.E et la France à cause de notre connard nationale y laissent des plumes.
    @

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  2. Pour ma part, bien que ne comprenant pas grand choses à la politique extérieure, je ne subodore rien de bon pour l'Europe, et donc la France, de ce conflit Russo-ukrainien.
    Je vois bien la main de l'Amérique et celle de ses caniches européens qui font tout pour déstabiliser la Russie. Comme ils l'ont fait pour l'Irak, comme ils le font pour l'Iran.
    Il faut se souvenir que des guerres mondiales peuvent éclater à partir d'une petite étincelle. Et le va-t-en guerre qui nous gouverne est prêt à partir, flamberge au vent, guerroyer n'importe où dans le monde. Enfin, ce n'est pas lui qui part mais il envoie nos soldats.
    Souvenez-vous : il était prêt à aller bombarder les Syriens pour devenir le caniche préféré d'Obama.
    Je ne vois rien de bon sortir de tout cela.
    L'Indien.

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  3. La situation est plus qu'inquiétante.
    D'un côté,les États Unis ,la France,l'Union Européenne,tous au service du mondialisme,la fin des nations,de l'autre côté Poutine à la tête d'une grosse puissance militaire et économique que représente la Russie.
    Poutine qui va à contre courant des autres,qui revient aux anciennes valeurs(Patrie,Famille,Chrétienté) même si son ambition est de devenir le Tsar de toute la Russie;ce même Poutine,pion fort sur l'échiquier international qui a su éviter une éventuelle 3ième Guerre Mondiale avec la Syrie,face au camp adverse qui fait tout ce qu'il peut pour allumer des feux un peu partout dans le monde et ce au nom desDroits de l'Homme et de la liberté et qui transforme le monde en un immense champ de bataille où les hommes ne sont plus que de la chair à canon.
    Ce camp adverse qui represente en fait les pantins au service des forces occultes qui les dirigent.
    Les États Unis,l'Union Européenne croulent sous le poids des dettes,tous dépendent de la Russie qui elle ne s'est pas appauvrie tant sur le plan militaire que sur le plan économique(céréales gaz...
    Fleur de lys.

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  4. Merci à vous L indien et Fleur de Lys, je constate que bien que je ne sois pas un spécialiste de la question UKRAINE CRIMÉE RUSSIE nous partageons pas mal de points en commun, ce qui de ce côté là me rassure un peu, mais seulement de ce côté là.
    Une fois encore tous les donneurs de morale qui s occupent plus souvent des autres que de leur pays respectif ferait mieux d être plus respectueux envers ceux qui ne partagent pas leur avis.
    POUTINE a peut être le regard glacial, il est surement très autoritaire, mais il a le mérite de s occuper en priorité de son pays, et des autres seulement lorsqu on son pays est en danger en particulier à l approche de ses frontières.

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  5. Je crois qu'un commentaire de monsieur Deswets aurait pu donner un éclairage pertinent sur ce qui se passe la-bas.
    Amicalement,

    Zorro.

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  6. Je ne suis pas non plus un spécialiste sur les questions de la RUSSIE ou de l UKRAINE, mais je pense qu indépendamment de vos articles trouvés sur la voie de la RUSSIE, votre analyse personnelle est très censée.
    Il se trouve effectivement que AMÉRICAINS et EUROPÉENS veulent diriger un POUTINE comme un pion sur un échiquier, mis à part que là, il ne s agit pas d une partie d échec et que M. POUTINE est loin d être un pion.
    Il protège effectivement ses intérêts, ceux de la Russie et ses citoyens, que nos gouvernants sachent en faire autant après ils pourront parler.

    Simon LAVILLE

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  7. Les événements en UKRAINE et en RUSSIE ne sont pas de bons augures
    Il est fort possible qu en UKRAINE comme en SYRIE il y ait des spécialistes de la Manipulation pour obtenir des libertés, un pouvoir ou je ne sais quoi
    et quoi que l on dise, toutes ces affaires se terminent dans le sang.
    Le déploiement des troupes par POUTINE, a peut être fait réagir les nations unis, mais il n y a eu aucune émeute et LA CRIMÉE ne s est pas retrouvé aussi dans un bain de sang
    Alors qu on lâche POUTINE et que chacun s occupe de ses affaires, il y a déjà tellement à faire.
    Merci de tous vos commentaires .

    Patrice LEGROS

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  8. Tout à fait d accord avec tous vos commentaires, je ne connais pas grand chose non plus dans ce domaine particulier, mais je trouve agaçant qu on veuille imposer ses lois et dicter une manière d agir à un Président d un grand pays comme la Russie.
    M.POUTINE s occupe avant tout des affaires de son pays et pas de celles des autres.

    Jean BOUVARD

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